Le vent du temps qui passe (1ère partie)
Contes et Haïku
Écrit par Philippe Bréham
Pièce de théâtre-danse jouée en 2002 au Théâtre de Ménilmontant à Paris, mise en scène par Albert Saxer sur des textes de Philippe Bréham inspirés de contes de l'ancien Japon.
SYNOPSIS
Le Temps s'enfuit, inexorable, s'envole toujours, vent infini qu'on ne pourra jamais rattraper, érodant, transformant tout sur son passage.
Le haïku, imprégné de Taoïsme et de Zen, exprime à sa manière, cette fuite du Temps qui génère l'impermanence des êtres et des choses.
L'impermanence, résultat des transformations incessantes de tout ce qui vit sur Terre et dans l'Univers, astres, humains, végétaux, animaux, montagnes, torrents, nous signale qu'à des degrés divers, rien ne perdure dans cette existence.
Le Temps en est le chef suprême, c'est lui qui dirige nos actes, nos évènements et agit sur nos comportements car, un jour ou l'autre, à notre insu, nous sommes confrontés à son emprise, tout comme le sont les personnages des différents contes proposés.
Certains de ces contes sont nés d'un haïku et certains haïku sont écrits à partir d'un récit. Cette interaction donne au petit poème une réceptivité plus grande ainsi qu'une « lumière » plus intense au récit correspondant, lequel agit alors en véritable support théâtral du haïku.
DISTRIBUTION
TEXTES :
Dino Buzzati, Philippe Bréham
COMÉDIENNE :
Cylia Seebaluck-Maé
DANSE ET CHORÉGRAPHIE :
Juju Alishina, Natalia Fontana
CONCEPTION CHORÉGRAPHIQUE :
Philippe Bréham
MIXAGE MUSICAL :
Pascal et Séverine Riehl
DIAPORAMA :
Bernard Boisson
LUMIÈRES :
Gérard Menn
MUSIQUE :
Sylvestre Soleil
MISE EN SCÈNE :
Albert Saxer